Giorno le Gang-Star



 
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Giorno le Gang-Star
Mer 20 Mai - 21:41
Giorno le Gang-Star



nom, prénom Giorno Giotto
âge, date 16 ans
origine Italienne

particularités Prêt à tout pour s'imposer.

groupe, suivi médical Aile B / Doit prendre des calmants dès qu'il perd le contrôle. Léger trouble de la personnalité.
pouvoir Appelé "Killer Queen" pour plus de style. Giotto est capable de piéger quelque chose par simple toucher. Aussitôt, un compte à rebours de trois secondes débute et la chose piégée explosera dès que les secondes seront écoulées. Giotto peut également interrompre le décompte pendant un moment et le reprendre après, histoire de s'extirper de la zone de l'explosion à venir. En contrepartie, il ne peut pas piéger quelque chose de vivant et le rayon d'action demeure très restreint et à puissance minimale. L'accumulation de petites bombes peut créer jusqu'à une explosion modérée, mais sans plus.
Personnalité
Le Giotto est un adolescent de taille moyenne pour un homme, à savoir un mètre soixante douze. Sa chevelure dorée assez longue est dissimulée par la manière dont il les coiffe, à savoir une queue de cheval mince dont on ne remarque à peine la présence tant le reste est extravaguant. En effet sur le devant de la scène, Giotto scinde sa frange en trois cercles dont la forme fait penser à des tortellini, sorte de symbole représentatif de son pays d'origine, à savoir l'Italie. Rien qu'en le voyant, on pourrait penser à un personnage parfait avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus. Mais tout cela est récent, car avant de débarquer dans cet asile psychiatrique, notre séduisant jeune homme était brun. C'est justement quand il apprit son transfert que le bel étalon opta pour une teinture or, signe d'un nouveau départ.

Pour ce qui est de son code vestimentaire, il est bien loin du costume cravate dont la mafia transalpine se pare dans les nombreux ouvrages où elle est évoquée. Giorno se contente simplement d'un pantalon de couleur noire et d'une veste doté d'un design assez particulier. Avec une ouverture en forme de cœur au niveau de la poitrine viennent s'ajouter trois coccinelles situées de chaque côté de son torse et directement en dessous de la fermeture éclair.

Maintenant que la partie physique est passée, attaquons nous à ce qu'a notre protagoniste dans la caboche. Si vous pensiez que Giorno n'est qu'un personnage haut en couleurs uniquement sur le plan vestimentaire, et bien vous aviez tout faux ! Laissez lui donc un peu de temps pour qu'il puisse se présenter convenablement. De mauvaise foi, tricheur, voleur : On croirait avoir affaire à un mauvais joueur de poker ne sachant pas bluffer...et ce n'est pas fini !

Persuadé d'appartenir à un gang de mafioso, le garçon nourrit depuis tout petit le désir de devenir un gangster tout en étant une star. Plus communément appelé "Gang-Star" par sa propre personne. Il n'hésite pas à dire ce qu'il pense, ce qui lui attire pas mal de mésaventures partout où il passe, répandant comme une trainée de poudre dans l'esprit des gens l'image d'une personne excentrique et noble mais qui sait rester modeste dans toute circonstances malgré son jeune âge. Avec toutes ces qualités se cache néanmoins quelque chose qui l'empêche d'évoluer continuellement dans les hautes sphères. La contrariété, têtu et borné ainsi que cette manie de tout le temps vouloir avoir raison. Car oui, Giorno n'a que seize ans et ce n'est pas pour rien qu'il se trouve dans ce lieu isolé. Persuadé d'être un malfaiteur, il se servait de cette notoriété pour assouvir les idées de son gang dont il s'est autoproclamé chef. Maintenant que GioGio se trouve parmi les indésirables de ce monde dans un même lieu, la partie s'annonce d'autant plus compliquée pour lui. Un défi de plus, rien que ça.
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Histoire
Né d'une mère japonaise et d'un père anglais, le petit Haruno Shiobana voit le jour à Rome durant une voyage touristique. Il aurait pu avoir une belle vie avec les salaires réunis de ses deux parents, si seulement ils ne s'étaient pas séparés pendant ce même voyage. Le paternel, ayant un emploi qui l'oblige à tout le temps se déplacer de pays en pays, choisit de quitter le pays et laisse la mère s'occuper toute seule du nouveau né. Celle-ci pensait pouvoir y arriver seule, sans compter sur le fait que son patron la vire pour un remaniements de personnel, coupant ainsi les vivres et obligeant la matriarche à se serrer la ceinture pour éduquer le petit Haruno. Des semaines passèrent, et la pauvreté commence à pointer le bout de son nez dans ce qui se trouve être le quotidien de la petite famille. Celle qui fut une si jolie demoiselle n'est plus qu'une banale personne, vendant son corps dans la rue pour grappiller de l'argent. Le petit garçon qu'est Haruno a alors trois ans, et déjà fait parler de lui dans la maternelle où l'a déposée sa mère. Atteint d'une envie de tout dominer, c'est avec la violence qu'il parvient à se faire respecter. Les parents des enfants entamèrent des démarches pour signer une pétition afin qu'il soit renvoyé, malgré son âge. Mais rien n'y fait, sa mère a réussi à le faire rester et bien des camarades d'Haruno partirent de cette école.
A partir de cinq ans, le brun ne plait à guère de monde, et même sa génitrice commençait à se poser des questions sur lui lorsqu'il l'empêcha pour la première fois de travailler en menaçant avec un couteau le client de la journée. Elle qui avait du le supplier pour qu'il accepte enfin ses services avait vu réduit ses espoirs de terminer le mois avec un gros chèque. C'en fut trop pour la matriarche, qui ne savait plus trop quoi faire pour occuper son fils adoré. Elle aurait pu le mettre à l'orphelinat et disparaitre aussitôt, mais son petit bout de chou ressemblait tellement à l'homme qui fut son mari. Et quand bien même il avait claqué la porte, elle éprouvait toujours un petit quelque chose pour lui. Voilà pourquoi elle choisit de lui faire l'école à la maison.

Haruno apprit donc les mathématiques, la grammaire, l'orthographe, quelques petites choses pour la science. Tout ce dont sa mère se rappelait, il l'apprit. Quand il avait des questions, elle tâchait de lui répondre le mieux possible. Mais la curiosité grandissante du bambin dépassa bien vite les limites des connaissances de sa mère, celle ci se contentant de dire juste "Tu auras la réponse bien assez tôt." Survint un jour où le petit Haruno décida de se faire appeler autrement. Un haussement de sourcil venant de la mère, suivit d'un petit rire contrôlé, et enfin un "Pourquoi pas." Ce changement de nom venait à point nommé, étant donné toutes les démarches à faire, autant les effectuer dès maintenant. L'après midi arriva, et les deux partirent se renseigner à la mairie de la ville. L'avis fut favorable, et les papiers furent vites expédiés en haut. Les deux individus ressortirent donc, armés de nouveaux noms, d'un nouveau départ. Si la mère avait décidé de garder son nom de mariée et son prénom, ce fut Haruno qui eut le droit de le changer, à la demande de la mère. Elle voulait tellement que son fils puisse repartir de zéro, avoir des amis et jouir d'une vie épanouie et heureuse. Désormais, il s'appelait Giorno. Giorno Giotto. Résidant toujours en territoire italien, autant prendre un prénom et nom de famille disponible et qui ne fassent pas trop étranger. Ce fut donc une période de dix ans qui se passa sans trop d'encombres qui se déroula. La mère trouva un travail respectable où elle ne devait plus vendre son corps pour subsister, une résidence saine. Tout ce à quoi elle avait aspiré pour son fils s'était réalisé. Jusqu'à ce jour.

C'était un mardi matin, Giorno était parti pour une journée de cours à son collège, quant à sa mère, elle était restée au lit le matin à cause d'une petite migraine. La matinée passa assez vite et le jeune garçon rentra bien vite chez lui pour déjeuner en la compagnie de sa maman adorée. Dans l'entrée, il entendit une voix masculine et celle de sa mère. Avait elle invité quelqu'un durant son absence ? Projetait elle de se remettre en ménage ? Toutes ces questions devaient avoir une réponse commune, et c'est en entrant dans le salon que le garçon fut confronté à quelque chose qu'il pensait terminé. Devant lui, un individu assez grand blond. Son paternel. Celui dont Giorno n'avait plus entendu parler depuis bien longtemps. Sa tête tourne, ses idées sont confuses. Son corps ne répond plus, tombe sur le sol lourdement avant que ses yeux ne se ferment.

Giorno reprit conscience dans un hôpital, allongé sur un lit. Le manque de décoration dans la salle, l'unique pot de fleurs sur la table de chevet. Tout cet environnement est nouveau pour lui, et c'est en voyant un officier de police s'approcher de lui que l'adolescent prend peur. Que fait il içi ? Où est sa mère, son père ? Que s'est il passé pendant qu'il était inconscient ? L'officier de corpulence assez imposante lui propose quelques sucreries avant de commencer à raconter l'histoire. Au fur et à mesure des minutes qui défilent, Giorno se remémore la scène. Il se voit agripper un couteau et se diriger vers les deux adultes. La suite, bien évidemment qu'il s'en doute. Sinon, pourquoi le représentant des forces de l'ordre serait présent devant lui ? Aucune émotion n'apparait sur son visage lorsque le récit s'achève, comme si Giorno avait déjà tiré un trait sur cette période. Pour lui, qu'un seul but dans sa vie. Et il le sait depuis son changement de vie. Il veut être un grand parmi les grand, quelqu'un d'important et avoir son propre gang. Baissant la tête pour faire en sorte de montrer que cette situation l'embête, l'agent le prévient aussi qu'il doit être mit en orphelinat jusqu'à temps de trouver une famille d'accueil. C'est donc après avoir échangé quelques mots supplémentaires que le policier le laisse dans la salle pour qu'il se repose.

Tout cela lui semblait bien bizarre, et une semaine plus tard, Giorno voit débarquer une troupe de gens armés dans sa chambre. L'un d'eux se démarque du groupe et l'empoigne par le bras avant de l'emmener de force à l'extérieur. D'un coup, l'inconscient du brun fait surface et commence à distribuer plusieurs coups. Il faudra au final pas plus de quatre personnes pour le maitriser, et qu'il se laisse emmener. Le voilà donc qui se voit être derrière les barreaux, dans cet univers carcéral où bien des gens mal intentionnés se retrouvent. Les premiers mois sont difficiles pour l'adolescent, qui essuie plusieurs châtiments corporels. Mais le garçon encaisse sans rien dire, il se sait plus intelligent que la plupart de ses ravisseurs. Le cinquième mois, il décide de se teindre les cheveux en blonds, traitement bien sur accepté pour cause de bonne conduite. Dès lors, Giorno commence à se parer de plusieurs styles de coiffure histoire de se bâtir une réputation, se sortir du lot en gros. Celui qui fut si calme et bien élevé à son arrivée se transforma bien vite en fauteur de troubles, n'hésitant pas à faire parler ses poings plutôt que sa bouche. Il essuie des revers, mais se relève toujours, se faisant petit à petit une réputation de "chercheur d'emmerdes". Pendant un repas, un dénommé Patonni vient le voir et lui adresse la parole. Tout le temps passé à se battre a servi également au Giotto de se renseigner sur la hiérarchie au sein de la prison. Et le Patonni en question s'avère être quelqu'un d'intéressant. Il lui glisse en quelques mots une histoire sur un centre de détention situé en Corée du Nord. Évidemment, Giorno n'en a cure et connait déjà ce centre puisqu'il s'agit d'un hôpital psychiatrique. Bien qu'il ait seize ans, le blond sait bien des choses que la plupart des gens de son âge ignorent. Préférant couper court à la conversation, le garçon s'en va prétextant un mal de tête.

Quelques jours plus tard, un courrier lui est adressé. Un timbre indiquant un pays étranger situé hors de l'Union Européenne. Un pays asiatique, et à en observer minutieusement les caractères, le détenu en conclut que cela vient de Corée. Et si cette rencontre avec Patonni était lié à ce courrier ? Ouvrir d'un coup vif l'enveloppe et retirer le papier pour commencer la lecture.
"Toutes mes sincères félicitations !
Vous venez d'être transféré à "Echoes Of Silence". L'asile psychiatrique le plus réputé de toute la Corée du Nord." Bien. Giorno avait donc été transféré. Qui avait eu l'idée de le faire sans en parler à l'intéressé ? Encore une question dont il n'aurait jamais la réponse, et le personnel de la prison vint le trouver pour l'emmener hors de cet endroit. Synonyme d'un nouveau départ, encore une fois. Peut être que là bas, il obtiendrait des réponses. Comme cette phrase dans la lettre mentionnant les sept péchés capitaux. Mais avant toute chose, il lui fallait un gang. Et se refaire une réputation. Montrer à tous que ce n'est pas l'âge qui fait le personnage, mais ses convictions. Il y arriverait, peu importe les moyens employés.

code du règlement

prénom, pseudo Shinou pour le pseudo
âge beaucoup d'années.

comment tu nous as découvert ? Topsites
des commentaires/suggestions/critiques sur le forum ? Pas pour l'instant.

un dernier discours à nous faire? Mangez des pommes !



Dernière édition par Giorno Giotto le Ven 22 Mai - 17:05, édité 1 fois
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